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Visioconférence « Accord et à coeur, une sexualité pour soi et pour l’autre » par Danièle Flaumenbaum
Bonjour à toutes et à tous,
Comme je vous l'annonçais dans la newsletter précédente, Danièle Flaumenbaum, gynécologue et auteure du best-seller « Femme désirée, femme désirante » ainsi que du livre « Les passeuses d’histoires: ce que nous transmettent nos grands-mères viendra nous parler, dans le cadre de la sixième conférence/débat organisée par Geneasens de son dernier livre intitulé « Accord et à coeur: une sexualité pour soi et pour l'autre » le mardi 23 avril 2024 à 19h30.
Lors de cette visioconférence, Danièle Flaumenbaum présentera son dernier livre et explorera les enjeux fondamentaux des transmissions du maternel et du féminin, soulignant leur importance cruciale dans l'épanouissement des femmes à l'âge adulte. Elle mettra en lumière trois obstacles majeurs qui perturbent nos relations sentimentales: l'encombrement parental, celui des imaginaires sexuels ainsi que celui des deuils et des séparations non résolus. L'auteure démontrera également comment se libérer de ces mémoires en prenant soin de soi à travers des pratiques physiques, psychiques et énergétiques, en portant attention à son partenaire et en transmettant une communication claire et précise aux enfants concernant la sexualité. Un autre aspect abordé est celui de la périnatalité, soulignant que nos ancêtres conditionnent le processus de mise au monde de nos enfants.
Je vous invite à découvrir ci-dessous quelques phrases que j'ai extraites du livre de Danièle, avec son accord, et qui serviront de trame pour animer le volet des questions et réponses. Si le sujet vous concerne ou vous intéresse, je vous invite à m’envoyer vos questions avant cet évènement. Je relaierai celles-ci auprès de Danièle Flaumenbaum.
Comme le nombre de places à cette conférence est limité, n'hésitez pas à vous inscrire rapidement. Cette conférence sera enregistrée et les personnes inscrites pourront également (re)voir celle-ci par la suite à leur meilleure convenance.
Bonne continuation à toutes et tous,
Pierre RAMAUT
Coordinateur de Geneasens
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Référence
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Avec l'accord de l’auteure, ces 50 phrases sont extraites du livre « Accord et à coeur, une sexualité pour soi et pour l’autre » de Danièle Flaumenbaum
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- « Je n'ai toujours pas oublié la blessure de ne jamais avoir entendu parler de sexualité dans mon enfance. Dans ma famille, on n’en disait rien. Ce n'est pas que la sexualité était interdite, elle n'existait tout simplement pas. Passée sous silence, elle ne faisait pas partie de ma vie d'enfant et donc pas non plus de celle de ma vie de future femme »
(Page 7)
- « Réussir à vivre ce partage sensuel et sexuel est un enjeu tellement important pour chacun de nous qu'il importe de le considérer comme un objectif de vie à part entière. »
(Page 8)
- « Quand on ne vit pas le plaisir sexuel et sa jouissance une partie de nous reste dans l'enfance et cette part de nous-mêmes n'accède pas à sa pleine expansion. »
(Page 9)
- « C'est seulement depuis peu qu'en Occident la sexualité ne se réduit plus à sa fonction traditionnelle de reproduction. Notre société la reconnaît maintenant comme une pratique qui s'inclut dans le quotidien de la vie, procure plaisir et jouissance, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Un puissant tabou moral est levé générant un nouveau monde, une autre façon de penser et de vivre sa vie. La libération sexuelle devient révolution. »
(Page 16)
- « Nous avons tous cru, les femmes et les hommes, que nous pouvions faire table rase d'un passé interdicteur et moralisateur qui stigmatisait le plaisir et la jouissance, comme s'il était possible de naître d'une page blanche déconnecté de l'héritage de notre histoire sociale et familiale. Comme si nous pouvions débarquer en terrain vierge et être le fruit d'une génération spontanée qui ne serait porteuse d'aucune mémoire! C'était la grande illusion. »
(Page 16)
- « Pour passer de la théorie à la pratique, il manquait aux hommes et aux femmes le maillon qui permet de savoir vivre sa sexualité ensemble, dans l'échange et la communication. Il nous a alors fallu faire ce rude constat: conquérir de nouveaux droits ne permettent pas automatiquement de savoir les vivres et d'en tirer avantage. »
(Page 18)
- « Sans m'en rendre compte, j'avais toujours une ceinture de chasteté invisible qui me gardait insensible et fermée à la sensation intérieure. J'étais toujours façonnée dans le modèle social des femmes de ma famille, dans leur interdit de jouir du sexe d'un homme. Fondamentalement, je ne comprenais rien à ce qui se passait, ou plutôt à ce qui ne se passait pas. Je n'avais aucune idée du fonctionnement de mon propre sexe et pas davantage de celui de mon partenaire. »
(Page 19)
- « J’ai souvent dit ensuite, comme une boutade, que le mode d’emploi du sexe n'est pas inscrit dans la boîte de pilules ni dans celle de préservatifs. »
(Page 19)
- « Il n’y a pas d'un côté la femme, le féminin, le maternel et de l'autre l'homme, le masculin et le paternel. Ces quatre instances nous constituent chacun.e que l'on soit une femme ou un homme. Nous sommes toutes et tous porteurs de ces 4 instances féminines, masculines maternelles, paternelles et l'amalgame de ces différentes fonctions compose la richesse de chaque personnalité. »
(Page 20)
- « Ce qui complique la donne, c'est que la dyade amoureuse a d'abord été, dans chaque petite enfance, celle de la mère et de l'enfant, et ce modèle a fait mémoire en nous. Il continue d'agir à notre insu, même à l'âge adulte. On comprend mieux nos difficultés à constituer une dyade amoureuse adulte, quand celle de notre origine n'a pas été chaleureuse, contenante et fiable. »
(Page 24)
- « La sexualité, qui sait se vivre crée du lien, un lien tout à fait unique où la complémentarité est à l'œuvre. Cette sensation de se sentir plus entier ou plus entière avec cet autre particulier est toujours incroyable et propre à cette union spécifique. L'apport de l'autre nous complète puisqu'il nous fait profiter de forces que nous n'avons pas. »
(Page 27)
- « La fonction maternelle est indispensable. La fonction maternelle, l'instance maternelle, le maternel sont différentes façons de nommer la fonction d'assistance à l'autre. C'est le don inconditionnel à l'autre qui n'attend rien et n'a rien à attendre en retour, si ce n'est le plaisir de voir l'autre bénéficier de cet altruisme. »
(Page 33)
- « Cette fonction( maternelle ) s'enclenche dès que nous sommes dans une relation d'aide, d'attention, de vigilance, de soutien à l'autre, de soins, que l'on soit un homme ou une femme et indépendamment du fait d'être parent. Notre degré de douceur, d'aide, de patience, de présence, de disponibilité, d'empathie, de plaisir, de fiabilité nous vient de cet héritage que nous répétons spontanément lorsque adultes ,nous sommes attentifs dans toutes les circonstances. »
(Page 34)
- « Cet héritage explique que le maternel n'est pas l'apanage des mères. Il est plus particulièrement la fonction de la mère, mais c'est tout autant une fonction du père dès lors que celui-ci pourvoit aux besoins de ses enfants. Il est aussi la fonction des frères et sœurs aînés, des nounous et de toutes les personnes qui prennent soin de l'enfant. De ce point de vue, le maternel donne une sécurité de base. »
(Page 35)
- « A mon sens, quand on veut comprendre nos difficultés relationnelles, on ne parle pas assez socialement, ni médiatiquement, des entraves issues des transmissions maternelles. »
(Page 37)
- « L'instance maternelle devient nuisible quand elle outrepasse ses fonctions, quand elle se met à prendre toute la place dans l'espace familial. Quand elle régente tout, sait tout, exerce une tyrannie en toute impunité, en toute légalité, dans le déni le plus total de son autoritarisme et de ses déficiences. »
(Page 38)
- « Car ce savoir-pour-l‘autre et se faire-pour-l‘autre n'ont pas à s'éterniser ni à se considérer comme les seules vérités quand les enfants grandissent et sont capables de s'exprimer et de donner leur avis. Ces compétences maternelles doivent être transitoires, elles doivent pouvoir se dissoudre et s'effacer au profit de la parole de l'enfant ou de la personne assistée, de l'expression de leur ressenti, de la croissance, de leurs aptitudes au fur et à mesure de leur développement. »
(Page 38)
- « Il en va ainsi de ces mères qui continuent à laver le linge de leurs enfants adultes et de ses enfants adultes qui ne disent pas non à cet assistanat. »
(Page 38)
- « Souvent, nous maintenons nos enfants dans l'enfance plutôt que de les propulser dans la vie adulte, un maternel qui perdure alors que son temps est révolu empêche une séparation indispensable qui permette aux enfants d'accéder à leur autonomie et à leur future sexualité. »
(Page 40)
- « Lorsqu’un interlocuteur nous fait remarquer que nous en faisons trop pour lui, il pointe en nous un maternel encore trop actif. C'est que nous n'acceptons pas de ne plus être indispensable. »
(Page 40)
- « Qu'il soit en excès ou en défaut, le maternel n’a pas laissé sa place à l'autre. L'enfant devenu adulte, non seulement est habité par ce qui lui a été proposé, mais il demeure en manque de ce dont il aurait eu besoin. Il se retrouve aux prises avec une agitation ou un vide intérieur qui l'empêchent de se repérer et de savoir ce qu'il veut. »
(Page 41)
- « Ayant souffert enfants d'un manque de maternel, les adultes n'ont jamais assez d'attention, d'amour, d'affection, de nourriture, de sexe, d’argent, de tout et de n'importe quoi pour compenser ce socle sécurisant, fondamental qu'ils n'ont pas eu. »
(Page 42)
- « Ceux qui ont subi trop de maternel peuvent aussi être asexués, car toute relation affective qui engage le cœur est placée sous le sceau d'un amour platonique. Pour d'autres, à contrario, la sexualité sera indispensable, voire addictive, comme une bouffée d'air qui les extirpe de l'enfance. »
(Page 43)
- « Mais il n'y a pas que les mères qui soient encombrées et encombrantes, les pères trop maternels le sont tout autant. »
(Page 45)
- « L’amour parental doit être asexué. L'amour que nous avons reçu de notre mère et de notre père est platonique. C'est une relation de cœur à cœur, une relation de complicité qui exclut la rencontre des sexes. »
(Page 49)
- « La mère et le père, qui privilégient la fonction parentale, et délaissent leurs fonctions féminine et masculine créent du déséquilibre dans le couple et dans la famille et laissent les enfants ignorants de leur propre avenir sexuel et de son fonctionnement. »
(Page 50)
- « Tout comme la fonction maternelle qui porte, soutient, nourri et assiste l'enfant, n'est pas l'exclusivité de la mère, la fonction paternelle n'est ni l'apanage ni l'attribution spécifique du père. »
(Page 52)
- « Quand le père berce son nourrisson, il exerce sa fonction maternelle et quand la mère parle à ce même enfant pour lui apprendre à se tranquilliser, elle exerce sa fonction paternelle. »
(Page 53)
- « Il est connu par la psychologie, la psychanalyse et les sciences humaines que la santé mentale d'un enfant dépend de sa capacité à pouvoir s'identifier à une autre personne que celle qui détient la fonction maternelle »
(Page 54)
- « Le père, la fonction paternelle, l'instance paternelle, quel que soit le nom qu'on lui donne, a donc pour mission de propulser l'enfant dans le monde, alors que la fonction maternelle fait pour l'enfant ce qu'il n'est pas encore capable de faire seul. La fonction paternelle le dégage, le désolidarise du maternel pour lui permettre progressivement de faire seul. »
(Page 54)
- « La fonction paternelle témoigne à l'enfant que le maternel n'est pas la totalité du monde. L'enfant apprend qu'il existe d'autres territoires à arpenter, plus vastes et variés que celui qu'il connaît et dans lequel il évolue jusqu'à présent. »
(Page 55)
- « La loi pose les limites. Le corps à corps affectif maternel qui nous a permis de ressentir des sensations et de vivre dans l'infraverbal ne suffit pas à transmettre la loi. C'est la parole qui permet cette transmission. Grâce à elle, l'enfant peut acquérir les règles de la société pour en faire partie. »
(Page 60)
- « Les limites fabriquent un contour et un contenant. Elles donnent un maintien, elles rassurent, elles individualisent et aident à forger la personnalité. Sans limite, l'enfant demeure dans un flou qui ne lui permet pas de s'extirper de la dyade maternelle. Le domaine de la fusion-confusion. »
(Page 61)
- « La fonction paternelle (du père comme de la mère) lorsqu'elle est excessive, qu'elle sait tout pour l'enfant et la famille perd son pouvoir de propulsion et infantilise l'enfant et le pétrifie. »
(Page 63)
- « Le risque dans le dosage de la loi est celui de la confusion entre la fonction paternelle qui instruit et éduque et la figure paternelle qui se pose en maître. Elle écrase alors les autres par un excès de pouvoir qui est ce sur quoi repose le patriarcat. Quand un père se prend pour un maître, il perd sa fonction de pédagogue et n'est plus qu'un donneur d'ordre. »
(Page 63)
- « Un père pas-père est un père démissionnaire. Ces pères-là ont souvent eu enfant à se soumettre aux désidératas de leur mère et à faire face à un père resté silencieux qui ne les a pas extirpés de leur dépendance maternelle. »
(Page 64)
- « Mais où sont passés les pères? Le patriarcat étant encore tout-puissant à l'échelle sociale, politique et économique, la confusion règne entre le patriarcat et la fonction paternelle. »
(Page 68)
- « En chacun de nous, il y a constamment une part qui imagine, stimule et engage notre sexualité, nous demande de la prendre en considération, d'en tenir compte et de la faire vivre. Je parle ici d'images, sensations, idées et scénarios tout droit sorti de notre imagination et qui déclenchent notre désir sexuel pour nous mener à la jouissance. Plutôt que de fantasmes, un mot qui me semble rétrécir la sexualité, je préfère une appellation plus ample qui est celle des imaginaires sexuels. »
(Page 72)
- « J'ai été curieuse de comprendre ce phénomène où le thème des imaginaires sexuels n'est pas celui des pervers ni des obsédés, mais potentiellement celui de chacun d'entre nous. Qu'on le sache ou non, nous avons tous des imaginaires sexuels et il est bon de les connaitre. »
(Page 73)
- « Si la sexualité des imaginaires sexuels accède sans difficulté à la jouissance, l’impasse de cette sexualité est de ne pas savoir harmoniser le sexe et le cœur, de ne pas savoir aimer celui ou celle que l'on aime. »
(Page 79)
- « Si nous regardons de la pornographie avant d'avoir commencé notre sexualité, elle influence et encombre notre imaginaire. »
(Page 81)
- « Les fantasmes sexuels ne se construisent pas avec les paroles transmises aux enfants sur la sexualité dans leur jeune âge, mais avec ce que l'on ne leur en a pas dit. »
(Page 82)
- « Pour mieux comprendre son propre comportement, il faut se représenter tout le rapport émotionnel, affectif, énergétique, de l'amour que l'on a reçu enfant, étape par étape, alors que l'on était relié aux gens qui s'occupaient de nous, nous aimaient et que l'on aimait. Notre petite enfance avant 7 ans est le laboratoire d'origine de notre sexualité future. »
(Page 87)
- « Les séparations et les deuils rompent l'union de deux êtres qui s'aiment et s'étaient engagés dans une vie de partage. Ce sont des événements douloureux. Ils nous plongent dans la tristesse d'avoir perdu le contact avec des gens qui nous sont chers. Ces désarrois sont évidemment légitimes, mais s'ils se prolongent inconsidérément, s’ils nous kidnappent et nous empêchent de reprendre le courant de notre vie, alors ils deviennent pour nous des événements révélateurs d'encombrements personnels que nous n'avons toujours pas résolus »
(Page 99)
- « Au lieu de nous détruire, un deuil assumé nous rend plus fort.e.s. Que toutes et tous, nous ayons la charge d'identifier les deuils non faits, les ruptures passées par les générations antérieures de notre famille, je l'ignorais. Pourtant, cela eût été important pour mieux me comprendre. »
(Page 104)
- « Nous ne sommes pas obligés non plus de rester indéfiniment tributaires de nos secrets de famille. Nous pouvons nous guérir des abus ou des incestes qui nous ont ravagés, grillés de l'intérieur, dépossédés de nous-mêmes dans une famille inconséquente. Il est possible de s'en sortir. »
(Page 123)
- « Nous ne sommes plus des enfants. S'accoucher soi-même à soi-même, c'est beaucoup de travail, mais c'est possible. Devenir sa propre mère et son propre père, cela s'apprend. »
(Page 123)
- « Consulter un thérapeute, c'est se donner une perspective supplémentaire et pouvoir avancer dans une vie qui nous correspond et nous satisfasse. La vie de famille, l'amour et le travail nous engagent à des compromis. Les repérer, les accepter ou les quitter, c'est mettre de l'ordre dans sa vie. Il ne s'agit plus de subir, de ne pas rester enfermé en soi, insatisfait. »
(Page 138)
- « En sachant aussi que des événements nouveaux, inéluctables vont nous obliger à nous adapter sans cesse aux nouvelles circonstances, de nouveaux aménagements seront toujours nécessaires. »
(Page 138)
- « Un grand nombre de thérapies se sont développées au siècle dernier. Elles sont récentes, elles ont à peine plus de 100 ans. Didier Dumas disait qu'elles souffraient toutes de leur propre maladie infantile. Pour une part, elles sont encore dans l'enfance et ont besoin de mûrir, mais malgré tous les reproches qu'on peut leur faire, il est bon de reconnaître leurs bienfaits et souhaitable de profiter de toutes les avancées qu'elles nous proposent. »
(Page 139)
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